Aprèsavoir reçu une réponse à vos cinq questions, vous devez maintenant analyser la situation. Vous devez vous assurer que la situation vous convient, qu’elle vous met à l’aise et qu’elle vous procure un sentiment de confiance. Ainsi, vous pourrez dormir paisiblement en sachant que votre litige est pris en charge par un
Vous souhaitez divorcer ? Votre conjoint a ouvertement dissimulé ses revenus et son patrimoine afin de venir minorer le versement de la pension alimentaire et de la prestation compensatoire qu’il vous doit ? Que faire pour contrer ces techniques ? Divorce cacher son patrimoine et ses revenus quels risques ? Les techniques de dissimulation de revenus avant un divorce La fixation du montant de la pension alimentaire ou de la prestation compensatoire lors d’un divorce se fait en fonction de vos ressources. Afin de diminuer la note il est possible que votre conjoint utilise des moyens pour cacher ses revenus, le plus souvent frauduleux. Lors du divorce pour fixer le montant de la prestation compensatoire votre conjoint doit fournir une déclaration certifiant sur l’honneur l’exactitude de ses ressources, de son patrimoine et de ses conditions de vie. Ainsi, pour dissimuler leur revenus ou leur patrimoine les ex-conjoints ont recours à différentes techniques soit en diminuant leur ressources soit en se créant des dettes Souscrire des emprunts réels ou fictifs auprès de tierce personne. Effectuer des donations, notamment une donation d’usufruit à un proche tout en conservant l’usage du bien. Minorer la valeur d’un bien par exemple en faisant un contrat de prêt à usage commodat fictif consistant à prêter l’usage gratuit d’un bien à un proche tout en s’en conservant la jouissance. Faire un apport de biens meubles ou immeubles à une société, en octroyant la majorité du capital à une personne de confiance tout en prévoyant dans les statuts un droit de vote double pour le minoritaire et en octroyant la gestion de la société au minoritaire. Détruire ses biens personnels. Provoquer le remboursement anticiper de ses emprunts avant le divorce. Reporter volontairement la perception de revenus Dissimuler des salaires en ne déclarant pas tous ses revenus. Retarder le paiement des dividendes Virer de l’argent sur des comptes à l’étranger. Déménager sans communiquer sa nouvelle adresse. Faire un contrat de vente fictif de ses biens auprès d’une tierce personne. Utiliser des prêtes noms. Effectuer de nombreuses dépenses avant son divorce. Acheter des biens qui peuvent être facilement sous-estimés dans une déclaration de ressources monument historique, pièce de collection, tableaux. Créer des indivisions conventionnelles sur un immeuble avec des amis. Organiser son insolvabilité présente de nombreux risques. Votre conjoint dissimule ses revenus et son patrimoine, que faire ? Vous n’avez pas encore divorcé et vous savez que votre mari dissimule ses revenus ? Si votre conjoint cache ses revenus avant le divorce, en réalité il organise ou aggrave son insolvabilité. Son comportement est pénalement répréhensible, il s’agit du délit d’organisation frauduleuse d’insolvabilité. Le fait pour votre ex-conjoint, d’organiser ou d’aggraver frauduleusement son insolvabilité est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende. Saisir le Procureur de la République, peut le dissuader de cacher ses revenus. Si votre conjoint a organisé son insolvabilité pour diminuer le montant de la prestation compensatoire ou de la pension alimentaire qu’il devrait vous verser, l’utilisation de la voie pénale permet de lui faire peur et de stopper cette volonté de dissimulation. Cette procédure pénale est recommandée tant que le jugement de divorce n’a pas été prononcé. Par contre si vous avez déjà divorcé il n’apparaît pas systématiquement opportun d’utiliser la voie pénale pour contrer cette technique. En effet, le faire condamner pénalement sera une procédure très longue, il faudra saisir le Procureur de la république, l’enquête prendra beaucoup de temps. Si vous avez déjà divorcé, nous vous conseillons d’obtenir la révision de votre jugement de divorce pour fraude. Vous avez déjà divorcé et vous savez que votre mari a dissimulé ses revenus ? Si vous avez déjà divorcé, et que vous apprenez par la suite que votre conjoint dispose en réalité de revenus ou de biens qu’il a dissimulés, vous pouvez obtenir du juge qui revienne sur sa décision, il s’agit d’un recours appelé recours en révision » portant sur le montant de la prestation compensatoire ou de la pension alimentaire. En demandant un recours en révision sur le jugement de divorce, vous ne remettez pas en cause le principe même d’avoir divorcé, votre divorce reste acquis car juridiquement les conséquences pécuniaires sont dissociables du prononcé du divorce. Le recours en révision permet de remettre en cause une décision de justice qui s’est basée sur des déclarations ou des faits frauduleux. Or le fait pour votre conjoint de dissimuler des revenus est un acte de fraude. Comment effectuer un recours en révision de votre jugement de divorce ? Vous allez demander au juge aux affaires familiales qui a décidé de votre divorce de réviser son jugement, car votre ex-conjoint a agit frauduleusement. Le délai pour agir en révision est de 2 mois à compter du jour où le demandeur en révision a eu connaissance de la cause de révision qu’il invoque. Ainsi, dès que vous obtenez des éléments indiquant que vote ex-conjoint a dissimulé ses revenus ou son patrimoine il convient d’agir très vite en demandant dans les deux mois la révision du jugement. Comment prouver les manœuvres qu’utilisent votre conjoint pour dissimuler ses revenus ? Il s’agit du point le plus difficile, parvenir à prouver que votre conjoint dissimule des revenus. Sauf qu’ayant pris la peine de les cacher c’est pour vous difficile de prouver quelque chose qui est dissimulé. Il convient d’être méthodique et de vérifier tous les éléments de son patrimoine. Vous pouvez tout d’abord obtenir des attestations d’amis et de connaissances qui témoigneront de la réalité de son patrimoine. Si vous savez qu’il travaille sans déclarer ses revenus, vous pouvez le dénoncer à l’URSAFF ou encore à l’inspection du travail. Il conviendra de vérifier l’existence d’éventuelles sociétés lui appartenant au registre du commerce et des sociétés. Faire intervenir un huissier qui établira un constat prouvant qu’il utilise plusieurs voitures, ou qui dressera une liste de ses adresses connues. Votre ex-conjoint cache ses revenus, dissimule son patrimoine dans le seul but de ne pas payer la pension alimentaire ou la prestation compensatoire qu’il vous doit ? Agissez rapidement en contactant un avocat de votre région appartenant au réseau AGN qui se chargera de trouver les moyens pour contrer les techniques frauduleuses qu’utilise votre ex-conjoint. Il vous obtiendra la pension alimentaire et la prestation compensatoire qui vous sont légitimement dues ! Si vous souhaitez plus d’informations sur le divorce, AGN Avocats vous invite à lire ces articles Optimiser fiscalement son divorce en 4 points J’ai une société je divorce que peut demander mon conjoint ? Ledivorce par consentement mutuel, autrement appelé le divorce sans juge est une procédure au sein de laquelle chacun des époux doit être représenté par un avocat enregistré au rang des minutes du notaire désigné
Passer au contenu 10 QUESTIONS A POSER A VOTRE AVOCAT DANS UNE PROCEDURE DE DIVORCE AMIABLE L’une des principales raisons nous amenant à refuser l’uberisation de la procédure de divorce tient en ce que les avocats rédacteurs de la convention doivent être, à notre sens, le plus disponible possible pour répondre aux interrogations de leurs lorsque l’on est en instance de divorce, il n’est pas toujours aisé de se concentrer sur tous les aspects de la procédure, le divorce, en lui-même, étant une épreuve chamboulant un mode de vous aider à couvrir l’ensemble des sujets avec votre avocat, nous vous présentons ci-dessous 10 questions à lui poser, à tout instant de la procédure. Me Anthony BERGERAvocat au Barreau de Lyon N’hésitez pas à aborder la question des honoraires dès le premier échange avec votre avocat. Il est tout à fait normal que la rémunération de votre conseil soit un sujet prioritaire pour vous. Le professionnel saura vous expliquer avec précision sa méthode de fixation de ses honoraires. Le divorce par consentement mutuel passe obligatoirement par l’assistance d’un avocat en réalité, de deux, un par époux. Or, l’avocat doit être rémunéré pour sa prestation. Vous pouvez, dans certains cas, être admissible à l’aide juridictionnelle. Dans ce cas, la rémunération de votre avocat peut être totalement, ou partiellement, prise en charge par l’Etat. Votre avocat saura vous accompagner dans la rédaction de votre demande d’aide juridictionnelle. Il doit par ailleurs accepté d’être rémunéré via cette aide défaut, il convient d’établir avec l’avocat une convention d’honoraires qui précisera les modalités de son intervention, ainsi que les termes de sa rémunération. Cette convention d’honoraires est un contrat que vous passez avec votre avocat, qui sécurise votre relation. Elle n’est pas à prendre à la légère et doit être étudiée avec attention. Votre situation vous paraît peut-être simple, ou vous pensez que le divorce amiable est LA procédure adéquate, alors que vous n’avez même pas encore prévenu votre conjoint. N’hésitez pas à demander à votre avocat de vous informer sur l’ensemble des procédures possibles en matière de lui apportant des précisions, cela lui permettra de vous guider vers la procédure la plus efficace possible. Votre procédure amiable ne sera pas forcément sans juge ». Il est donc important d’y être préparé. Un divorce par consentement mutuel répond à une procédure stricte. Il vous faut être informé précisément de toutes les étapes à venir, d’autant que vous allez être amené à être actif dans votre vous permettra de savoir exactement où vous en êtes et ce que à quoi vous pouvez vous attendre. Votre avocat n’est pas totalement maître du délai. Il ne peut anticiper le temps des négociations et la réactivité du notaire. En principe, le divorce sans juge a pour principal avantage d’être relative rapide. On parle souvent d’un délai de 1 à 2 mois. Mais cela n’est pas forcément toujours le cas. Les situations peuvent se révéler complexes et les acteurs de la procédure peuvent faire preuve d’une réactivité est donc important de faire estimer par le professionnel un délai, qui sera, de toutes façons, approximatif, à ce stade. S’il est des cas où l’accord des époux est total dès le début de la procédure, il peut arriver qu’une phase de négociations, plus ou moins longue, soit nécessaire. Or, ces négociations peuvent échouer. Votre avocat peut vous informer de toutes les possibilités qui s’ouvriront à vous dans ce cas. Selon que vous soyez propriétaires en commun de biens mobiliers ou immobiliers, le passage, ou non, devant un notaire sera obligatoire. Parmi les conséquences du divorce, il y a le partage des biens meubles et immeubles appartenant en commun aux époux. Si en théorie ce partage est relativement simple, la pratique montre souvent qu’il est l’occasion de crisper la procédure. Pourtant, des règles existent, et votre avocat saura les appliquer avec un premier temps, il faut que vous ayez conscience de ce qu’implique le régime matrimonial que vous avez choisi lors du mariage. Soit vous n’avez pas fait de contrat de mariage alors, vous êtes mariés sous le régime dit de la communauté légale réduite aux acquêts. A ce titre, tous les biens acquis pendant le mariage tombe, en principe, dans la communauté. Mais, vous pouvez avoir établi un contrat de mariage séparatiste les biens sont acquis en propre par l’un ou l’autre des époux, ou en indivision, voir de communauté universelle l’ensemble des biens, même acquis avant le mariage, sont communs.L’idée est d’établir quels biens sont communs et nécessitent donc d’être partagés. La séparation est toujours une étape évidemment difficile pour les enfants du couple concerné. Imaginez, pour eux, un monde qui s’écroule, une stabilité, quand bien même serait-elle de façade, qui disparait. Vous aimez vos enfants, sans nulle doute. La procédure de divorce ne doit à ce titre pas vous faire oublier de les préserver, au cela ne doit pas également vous empêcher de faire valoir vos droits, sur l’autorité parentale, sur le droit de garde, sur l’éducation, etc. La convention de divorce doit contenir, en ce sens, les différentes mesures divorce amiable, puisqu’il a pour objectif d’être serein, doit être alors l’occasion d’allier les deux idées. Ayez néanmoins toujours à l’esprit que si un juge devait intervenir, il privilégierait, toujours, l’intérêt de l’enfant. Dans certains cas, le divorce entraîne un écart de niveau de vie entre les ex-conjoints. Afin de compenser cette différence, il peut être prévu, dans le cadre de la procédure, le versement d’une prestation financière, d’un ex-époux vers l’autre. La prestation compensatoire, puisque c’est son nom, peut alors prendre la forme d’une rente en capital, c’est à dire versée en une fois. Mais elle peut également être payée de façon échelonnée. La prestation compensatoire ne doit pas être confondue avec la pension alimentaire qui a pour objectif d’aider le parent ayant la garde des enfants à favoriser leur bon développement. La date d’effet du divorce peut revêtir une importance capitale, notamment en matière fiscale et / ou patrimoniale. Il est donc important d’aborder cette question avec votre avocat afin que celui-ci vous conseille au mieux sur la date à envisager. En effet, si en principe le divorce prend effet au jour de l’attestation notariale, il est tout à fait possible de prévoir une date alternative dans la convention. Au-delà de la rémunération de l’avocat, le divorce par consentement mutuel peut entraîner des frais annexes. Il s’agit de frais concernant la liquidation de communauté ou encore de la fiscalité du avocat pourra tenter d’évaluer avec vous ces frais annexes et d’en optimiser, le cas échéant, le règlement. L’ultime étape. Il s’agit de rendre opposable votre divorce aux tiers, notamment aux administrations, par l’apposition de la mention de ce divorce sur votre acte de naissance et sur l’acte de procédure, entièrement gratuite, est généralement effectuée par vos attention toute particulière doit être portée à cette transcription, puisque son accomplissement vous permettra, par exemple, de vous remarier. Partagez cet article Voir l'image agrandie 10 questions à poser à son avocat dans une procédure de divorce amiable 10 QUESTIONS A POSER A VOTRE AVOCAT DANS UNE PROCEDURE DE DIVORCE AMIABLE L’une des principales raisons nous amenant à refuser l’uberisation de la procédure de divorce tient en ce que les avocats rédacteurs de la convention doivent être, à notre sens, le plus disponible possible pour répondre aux interrogations de leurs lorsque l’on est en instance de divorce, il n’est pas toujours aisé de se concentrer sur tous les aspects de la procédure, le divorce, en lui-même, étant une épreuve chamboulant un mode de vous aider à couvrir l’ensemble des sujets avec votre avocat, nous vous présentons ci-dessous 10 questions à lui poser, à tout instant de la procédure. Me Anthony BERGERAvocat au Barreau de Lyon N’hésitez pas à aborder la question des honoraires dès le premier échange avec votre avocat. Il est tout à fait normal que la rémunération de votre conseil soit un sujet prioritaire pour vous. Le professionnel saura vous expliquer avec précision sa méthode de fixation de ses honoraires. Le divorce par consentement mutuel passe obligatoirement par l’assistance d’un avocat en réalité, de deux, un par époux. Or, l’avocat doit être rémunéré pour sa prestation. Vous pouvez, dans certains cas, être admissible à l’aide juridictionnelle. Dans ce cas, la rémunération de votre avocat peut être totalement, ou partiellement, prise en charge par l’Etat. Votre avocat saura vous accompagner dans la rédaction de votre demande d’aide juridictionnelle. Il doit par ailleurs accepté d’être rémunéré via cette aide défaut, il convient d’établir avec l’avocat une convention d’honoraires qui précisera les modalités de son intervention, ainsi que les termes de sa rémunération. Cette convention d’honoraires est un contrat que vous passez avec votre avocat, qui sécurise votre relation. Elle n’est pas à prendre à la légère et doit être étudiée avec attention. Votre situation vous paraît peut-être simple, ou vous pensez que le divorce amiable est LA procédure adéquate, alors que vous n’avez même pas encore prévenu votre conjoint. N’hésitez pas à demander à votre avocat de vous informer sur l’ensemble des procédures possibles en matière de lui apportant des précisions, cela lui permettra de vous guider vers la procédure la plus efficace possible. Votre procédure amiable ne sera pas forcément sans juge ». Il est donc important d’y être préparé. Un divorce par consentement mutuel répond à une procédure stricte. Il vous faut être informé précisément de toutes les étapes à venir, d’autant que vous allez être amené à être actif dans votre vous permettra de savoir exactement où vous en êtes et ce que à quoi vous pouvez vous attendre. Votre avocat n’est pas totalement maître du délai. Il ne peut anticiper le temps des négociations et la réactivité du notaire. En principe, le divorce sans juge a pour principal avantage d’être relative rapide. On parle souvent d’un délai de 1 à 2 mois. Mais cela n’est pas forcément toujours le cas. Les situations peuvent se révéler complexes et les acteurs de la procédure peuvent faire preuve d’une réactivité est donc important de faire estimer par le professionnel un délai, qui sera, de toutes façons, approximatif, à ce stade. S’il est des cas où l’accord des époux est total dès le début de la procédure, il peut arriver qu’une phase de négociations, plus ou moins longue, soit nécessaire. Or, ces négociations peuvent échouer. Votre avocat peut vous informer de toutes les possibilités qui s’ouvriront à vous dans ce cas. Selon que vous soyez propriétaires en commun de biens mobiliers ou immobiliers, le passage, ou non, devant un notaire sera obligatoire. Parmi les conséquences du divorce, il y a le partage des biens meubles et immeubles appartenant en commun aux époux. Si en théorie ce partage est relativement simple, la pratique montre souvent qu’il est l’occasion de crisper la procédure. Pourtant, des règles existent, et votre avocat saura les appliquer avec un premier temps, il faut que vous ayez conscience de ce qu’implique le régime matrimonial que vous avez choisi lors du mariage. Soit vous n’avez pas fait de contrat de mariage alors, vous êtes mariés sous le régime dit de la communauté légale réduite aux acquêts. A ce titre, tous les biens acquis pendant le mariage tombe, en principe, dans la communauté. Mais, vous pouvez avoir établi un contrat de mariage séparatiste les biens sont acquis en propre par l’un ou l’autre des époux, ou en indivision, voir de communauté universelle l’ensemble des biens, même acquis avant le mariage, sont communs.L’idée est d’établir quels biens sont communs et nécessitent donc d’être partagés. La séparation est toujours une étape évidemment difficile pour les enfants du couple concerné. Imaginez, pour eux, un monde qui s’écroule, une stabilité, quand bien même serait-elle de façade, qui disparait. Vous aimez vos enfants, sans nulle doute. La procédure de divorce ne doit à ce titre pas vous faire oublier de les préserver, au cela ne doit pas également vous empêcher de faire valoir vos droits, sur l’autorité parentale, sur le droit de garde, sur l’éducation, etc. La convention de divorce doit contenir, en ce sens, les différentes mesures divorce amiable, puisqu’il a pour objectif d’être serein, doit être alors l’occasion d’allier les deux idées. Ayez néanmoins toujours à l’esprit que si un juge devait intervenir, il privilégierait, toujours, l’intérêt de l’enfant. Dans certains cas, le divorce entraîne un écart de niveau de vie entre les ex-conjoints. Afin de compenser cette différence, il peut être prévu, dans le cadre de la procédure, le versement d’une prestation financière, d’un ex-époux vers l’autre. La prestation compensatoire, puisque c’est son nom, peut alors prendre la forme d’une rente en capital, c’est à dire versée en une fois. Mais elle peut également être payée de façon échelonnée. La prestation compensatoire ne doit pas être confondue avec la pension alimentaire qui a pour objectif d’aider le parent ayant la garde des enfants à favoriser leur bon développement. La date d’effet du divorce peut revêtir une importance capitale, notamment en matière fiscale et / ou patrimoniale. Il est donc important d’aborder cette question avec votre avocat afin que celui-ci vous conseille au mieux sur la date à envisager. En effet, si en principe le divorce prend effet au jour de l’attestation notariale, il est tout à fait possible de prévoir une date alternative dans la convention. Au-delà de la rémunération de l’avocat, le divorce par consentement mutuel peut entraîner des frais annexes. Il s’agit de frais concernant la liquidation de communauté ou encore de la fiscalité du avocat pourra tenter d’évaluer avec vous ces frais annexes et d’en optimiser, le cas échéant, le règlement. L’ultime étape. Il s’agit de rendre opposable votre divorce aux tiers, notamment aux administrations, par l’apposition de la mention de ce divorce sur votre acte de naissance et sur l’acte de procédure, entièrement gratuite, est généralement effectuée par vos attention toute particulière doit être portée à cette transcription, puisque son accomplissement vous permettra, par exemple, de vous remarier. Partagez cet article Share This Story, Choose Your Platform! 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Le professionnel saura vous expliquer avec précision sa méthode de fixation de ses honoraires. Le divorce par consentement mutuel passe obligatoirement par l’assistance d’un avocat en réalité, de deux, un par époux. Or, l’avocat doit être rémunéré pour sa prestation. Vous pouvez, dans certains cas, être admissible à l’aide juridictionnelle. Dans ce cas, la rémunération de votre avocat peut être totalement, ou partiellement, prise en charge par l’Etat. Votre avocat saura vous accompagner dans la rédaction de votre demande d’aide juridictionnelle. Il doit par ailleurs accepté d’être rémunéré via cette aide défaut, il convient d’établir avec l’avocat une convention d’honoraires qui précisera les modalités de son intervention, ainsi que les termes de sa rémunération. Cette convention d’honoraires est un contrat que vous passez avec votre avocat, qui sécurise votre relation. Elle n’est pas à prendre à la légère et doit être étudiée avec attention. Votre situation vous paraît peut-être simple, ou vous pensez que le divorce amiable est LA procédure adéquate, alors que vous n’avez même pas encore prévenu votre conjoint. N’hésitez pas à demander à votre avocat de vous informer sur l’ensemble des procédures possibles en matière de lui apportant des précisions, cela lui permettra de vous guider vers la procédure la plus efficace possible. Votre procédure amiable ne sera pas forcément sans juge ». Il est donc important d’y être préparé. Un divorce par consentement mutuel répond à une procédure stricte. Il vous faut être informé précisément de toutes les étapes à venir, d’autant que vous allez être amené à être actif dans votre vous permettra de savoir exactement où vous en êtes et ce que à quoi vous pouvez vous attendre. Votre avocat n’est pas totalement maître du délai. Il ne peut anticiper le temps des négociations et la réactivité du notaire. En principe, le divorce sans juge a pour principal avantage d’être relative rapide. On parle souvent d’un délai de 1 à 2 mois. Mais cela n’est pas forcément toujours le cas. Les situations peuvent se révéler complexes et les acteurs de la procédure peuvent faire preuve d’une réactivité est donc important de faire estimer par le professionnel un délai, qui sera, de toutes façons, approximatif, à ce stade. S’il est des cas où l’accord des époux est total dès le début de la procédure, il peut arriver qu’une phase de négociations, plus ou moins longue, soit nécessaire. Or, ces négociations peuvent échouer. Votre avocat peut vous informer de toutes les possibilités qui s’ouvriront à vous dans ce cas. Selon que vous soyez propriétaires en commun de biens mobiliers ou immobiliers, le passage, ou non, devant un notaire sera obligatoire. Parmi les conséquences du divorce, il y a le partage des biens meubles et immeubles appartenant en commun aux époux. Si en théorie ce partage est relativement simple, la pratique montre souvent qu’il est l’occasion de crisper la procédure. Pourtant, des règles existent, et votre avocat saura les appliquer avec un premier temps, il faut que vous ayez conscience de ce qu’implique le régime matrimonial que vous avez choisi lors du mariage. Soit vous n’avez pas fait de contrat de mariage alors, vous êtes mariés sous le régime dit de la communauté légale réduite aux acquêts. A ce titre, tous les biens acquis pendant le mariage tombe, en principe, dans la communauté. Mais, vous pouvez avoir établi un contrat de mariage séparatiste les biens sont acquis en propre par l’un ou l’autre des époux, ou en indivision, voir de communauté universelle l’ensemble des biens, même acquis avant le mariage, sont communs.L’idée est d’établir quels biens sont communs et nécessitent donc d’être partagés. La séparation est toujours une étape évidemment difficile pour les enfants du couple concerné. Imaginez, pour eux, un monde qui s’écroule, une stabilité, quand bien même serait-elle de façade, qui disparait. Vous aimez vos enfants, sans nulle doute. La procédure de divorce ne doit à ce titre pas vous faire oublier de les préserver, au cela ne doit pas également vous empêcher de faire valoir vos droits, sur l’autorité parentale, sur le droit de garde, sur l’éducation, etc. La convention de divorce doit contenir, en ce sens, les différentes mesures divorce amiable, puisqu’il a pour objectif d’être serein, doit être alors l’occasion d’allier les deux idées. Ayez néanmoins toujours à l’esprit que si un juge devait intervenir, il privilégierait, toujours, l’intérêt de l’enfant. Dans certains cas, le divorce entraîne un écart de niveau de vie entre les ex-conjoints. Afin de compenser cette différence, il peut être prévu, dans le cadre de la procédure, le versement d’une prestation financière, d’un ex-époux vers l’autre. La prestation compensatoire, puisque c’est son nom, peut alors prendre la forme d’une rente en capital, c’est à dire versée en une fois. Mais elle peut également être payée de façon échelonnée. La prestation compensatoire ne doit pas être confondue avec la pension alimentaire qui a pour objectif d’aider le parent ayant la garde des enfants à favoriser leur bon développement. La date d’effet du divorce peut revêtir une importance capitale, notamment en matière fiscale et / ou patrimoniale. Il est donc important d’aborder cette question avec votre avocat afin que celui-ci vous conseille au mieux sur la date à envisager. En effet, si en principe le divorce prend effet au jour de l’attestation notariale, il est tout à fait possible de prévoir une date alternative dans la convention. Au-delà de la rémunération de l’avocat, le divorce par consentement mutuel peut entraîner des frais annexes. Il s’agit de frais concernant la liquidation de communauté ou encore de la fiscalité du avocat pourra tenter d’évaluer avec vous ces frais annexes et d’en optimiser, le cas échéant, le règlement. L’ultime étape. Il s’agit de rendre opposable votre divorce aux tiers, notamment aux administrations, par l’apposition de la mention de ce divorce sur votre acte de naissance et sur l’acte de procédure, entièrement gratuite, est généralement effectuée par vos attention toute particulière doit être portée à cette transcription, puisque son accomplissement vous permettra, par exemple, de vous remarier. Partagez cet article Page load link En cliquant sur ok, vous acceptez l'utilisation de traceurs cookies pour améliorer et personnaliser votre navigation, réaliser des statistiques et mesure d' de confidentialité Aller en haut
zak_the_grayLe 22-08-2022 à 14:19. Bonjour, Je réside et travail en CDI en France depuis mars 2021. Mon salaire et mon logement répondent aux critères du regroupement familial. J'ai déjà envoyé mon dossier à l'OFII de Montrouge par voie postale et j'ai reçu un AR le 2/3/2022. Pourtant, à ce jour, je n'ai pas reçu l'attestation de Bonjour, Il est possible que cela retarde la procédure. Si l'avocat de votre conjoint rend son tablier, celui-ci devra en trouver un autre pour se faire représenter. Nonobstant les délais supplémentaires, si Monsieur ne parvient pas à se faire représenter par un avocat lors de cette procédure, c'est plutôt bon pour vous il ne pourra pas produire ses pièces et demandes lors de la procédure, et le juge tranchera par rapport à vos seuls demandes et arguments. Il n'y a pas de limites au nombre de demandes de report tant que le juge les accepte. Mais sans avoir le nez dans le dossier, impossible de vous dire quelles seront les conséquences exactes il faut savoir si votre mari compte changer d'avocat, si son avocat essaye juste de se faire payer ou s'il a l'intention d'abandonner le dossier... Il faut donc en discuter avec votre propre avocat.
Ilfaut également éviter de se fier à une connaissance ou au bouche-à-oreille. Chaque dossier de divorce est particulier. Les honoraires de l’avocat. Avant de choisir définitivement un avocat, il faut prendre en considération ses honoraires. Ce professionnel les fixe librement. Mieux vaut opter pour un forfait qu'un tarif à l'heure. Si
Droit de la famille assistance juridique gratuite en gestion des contentieux familiauxDivorcer, pourquoi et comment ? Il existe plusieurs cas qui mènent le couple vers une seule et unique solution, celle de divorcer. Les problèmes vont du désaccord jusqu’aux cas de violence conjugale inacceptable. Beaucoup de femmes et d’hommes aussi souffrent de l’insouciance, de l’irresponsabilité et de l’indifférence de leurs partenaires. Le discours à ce propos est souvent source de conflits et de litiges desquels ne peut résulter que la décision de cette décision prenant un aspect négatif, ne peut représenter que le meilleur tous les cas, ne prenez jamais vos décisions tout seul. Soyez accompagné par un avocat de divorce !Le juriste en ligne gratuit compétent saura analyser votre situation et vous faire part par la suite des explications et des détails relatifs à votre affaireConsulter un avocat gratuitement en ligne !Quels sont les types de divorce ?Il existe 4 types de divorce * Le divorce par consentement mutuel* Le divorce pour faute* Le divorce par acceptation du principe de la rupture du mariage* Le divorce pour altération du lien conjugalLe problème ici est que connaître les différents types ne suffit pas. Il faut vraiment faire le bon choix selon votre situation et les circonstances de votre pour cette raison qu’il est vivement conseillé de contacter l’assistance juridique gratuite pour bénéficier d’un conseil rapide et de succession, que faire ?Le testamentLe testament est un document officiel à travers lequel l’auteur transmet ses dernières volontés à ses est rédigé par un avocat spécialisé en droit des successions et c’est un document officiel fait par le détenteur, dans lequel il indique ses dernières volontés. Il est probable qu’il soit refusé ou contesté par les membres de la famille, engendrant un conflit qui doit être pris en charge par un juriste de la même vous êtes confronté à une situation pareille, notre service juridique gratuit vous vient en aide en vous communiquant les bonnes informations et expliquant les démarches à suivre afin de mettre toutes les chances de votre donationC’est une décision qui consiste à céder la propriété d’un bien à une tierce personne gratuitement et ce, de façon totalement volontaire et gratuite. Toute personne possède le droit de donner une partie ou la totalité de ses biens. Cependant, bien que simple, claire et nette, cette procédure doit être réalisée sous un contrôle juridique bien précis. Les textes de loi sont spécifiques à ce quels sont nos droits ?Le droit de visite et d’hébergementA un certain âge, l’être humain commence à avoir besoin d’être accompagné. Les amis sont certes importants, mais ne peuvent en aucun cas remplacer les membres de la famille, les petits enfants réalité, il est malheureusement remarquable que de nombreux couples de grands parents souffrent de l’insouciance de leurs enfants et de leurs petits. Ils restent seuls sans que personne ne prend la peine de leur rendre visite. La loi, de son côté pense à eux et consacre toute une partie qui défend leurs droits. Si vous êtes en train de vivre une situation similaire, n’hésitez pas à demander avant tout l’avis de votre avocat en ligne. Notre service juridique gratuit vous permet tout d’abord de privilégier les solutions amiables, mais aussi de ne pas dépenser des sommes exagérées à ce droit à la pension alimentairePrendre soin des enfants après un divorce, n’est pas une tâche facile surtout quand on a pas les ressources suffisantes pour le faire. C’est pour cette raison que la loi accorde au parent qui a la garde le droit de demander une pension alimentaire en cas de besoin et d’incapacité de satisfaire les besoins grands –parents ont le droit de demander à leurs petits enfants une pension alimentaire et vice-versa. Si par exemple, les parents sont en situation financière critique, les grands-parents peuvent être amenés à payer. L’affaire n’est pas aussi simple qu’on le croit. C’est pour cette raison qu’il vaut mieux contacter avant d’entamer la moindre procédure, un service juridique en ligne afin de trouver rapidement et gratuitement la réponse à vos besoins.
Pourbien préparer cet entretien, nous vous conseillons de faire une liste des points essentiels à discuter avec votre avocat. Le type de divorce Quelle est la
Après de longues discussion avec votre partenaire et vous même, vous avez décidé qu’il est temps de mettre fin à votre mariage et de divocer. Il est toujours stressant d’aller voir un avocat, et ce d’autant plus lorsque cela touche à notre intimité. Voici donc les questions classiques auxquelles un avocat de divorce a l’habitude de répondre lors de ce premier échange. 1. Combien cela va me coûter ? Question très pragmatique, certes, mais qui a son intérêt ! Face à une telle question, l’avocat pourra vous parler d’aide juridictionelle et vous transmettra sa convention d’honoraires. Il sera alors important de discuter, avec lui, de ses tarifs et des éventuelles facilités de paiement. 2. Est-il possible de ne prendre qu’un seul avocat ? Et oui, les divorces ne sont pas toujours conflictuels ! Nombreux sont les divorces réglés à l’amiable. On peut donc imaginer pouvoir faire au plus simple et ne prendre qu’un seul avocat, mais la réalité est toute autre. L’avocat sera donc à même de vous conseiller sur ce point. 3. Comment se passe la procédure ? Lors d’un divorce, il est vrai que l’on a envie d’en finir le plus vite possible… Mais selon le type de divorce, l’affaire peut, parfois, dépasser deux années ou ne durer que quelques mois. De même, un divorce pourra, parfois, se passer de juge ou connaître plusieurs audiences… Selon les circonstances, votre avocat de divorce pourra donc vous expliquer la procédure propre à votre situation. 4. Nous sommes un couple binational, comment divorcer ? Le divorce d’un couple binational peut se révéler être un vrai casse-tête… Il est donc fondamental de bien se renseigner auprès de l’avocat avec lequel vous avez pris rendez-vous ! 5. Que va-t-il se passer pour les enfants ? Ils sont au cœur de la procédure et il est indispensable de discuter avec son avocat des questions d’autorité parentale, de résidence de l’enfant, de pension alimentaire… pour fixer le plus tôt possible les mesures qui régiront la situation de vos chérubins. 6. Et le logement ? La question de l’attribution du logement ou du choix de le quitter peut être source de nombreuses difficultés. Là encore, il est indispensable d’en parler avec son conseil, lors du premier rendez-vous. 7. Ai-je droit à une pension alimentaire ? Selon les circonstances, vous pourrez effectivement vous voir attribuer une pension alimentaire. Il est donc intéressant d’en discuter d’ores et déjà lors du premier rendez-vous. 8. Que faire si mon épouxse a des relations extra-conjugales ? L’infidélité est l’une des principales raisons qui poussent au divorce. Il faut le rappeler la procédure de divorce ne fait nullement cesser les obligations des époux. Ici, l’avocat pourra, donc, vous expliquer les tenants et les aboutissants du divorce pour faute. 9. Comment partager les biens durant la procédure ? Question fondamentale, tant les biens mobiliers et immobiliers peuvent être au cœur des plus gros conflits. N’hésitez donc pas à en parler avec votre avocat ! 10. Pourrai-je garder le nom de mon époux ? C’est déjà anticiper les conséquences du divorce que de se poser cette question, mais elle peut faire partie des questions régulièrement posées lors du premier rendez-vous ! Le plus important pour bien réussir votre première rencontre avec cet avocat c’est de faire une liste, écrite, avec les questions qui vous tiennent le plus à coeur. Bien comprendre la procédure de divorce va vous aider à la surmonter de la meilleure des manières et vous éviter bien des périodes de stress et d’énervement. . 308 75 488 254 479 492 86 491

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