Actuellementjouée à la chapelle Notre-Dame des Anges à Paris, la pièce "Pierre et Mohamed" met en scène Mgr Pierre Claverie, évêque d’Oran (1981-1996), et Mohamed Bouchikhi, jeune oranais musulman. Une œuvre qui pose la question délicate de l’amitié et du dialogue entre chrétiens et musulmans dans le contexte terrible et confus
Culture Aux Bouffes du Nord, la troupe met le feu à la scène dans "Les Armoires normandes", une pièce folle sur l'amour. À vos mouchoirs on pleure de rire ! À la fin du spectacle, ce soir-là , deux créatures poilues à l'extrême dansaient le sirtaki dans le sable. © Lebruman Sur scène, le spectacle au titre étrange, Les Armoires normandes, a déjà commencé lorsque le public s'installe un Christ bien sanglant sur sa croix, gigotant des pieds et des mains, plutôt beau parleur, donne une sorte de conférence sur la foi et l'amour, ce qui est son rayon "Ça fait deux mille ans que ça dure, c'est pas toujours marrant je vous le dis, et tout ce sang, ça colle !" Pas très catholique ce Christ. Il disparaîtra pour laisser place à une suite de saynètes qui se déversent pêle-mêle, leur seul lien étant l'amour dans tous ces états. Ni théâtre calibré, ni premier, deuxième et troisième actes, mais des improvisations travaillées au cordeau et qui changent d'un soir à l'autre. Rien qu'à lire les titres de leurs autres productions qui font toujours salle comble Quand je pense qu'on va vieillir ensemble, Une raclette, Regarde le lustre et articule, on sent que ces Chiens de Navarre ne sont pas nets. Pourquoi Chiens, pourquoi Navarre ? "Comme ça, répond le metteur en scène Jean-Christophe Meurisse, ça sonnait bien." Sur quoi aboient-ils ? Sur les tendances à la mode, les faussetés de comportement, les trucs qui tournent rond avec des roues carrées. Ils causent de tout, aucun respect pour rien, dégueulent et pètent en scène, se touchent le zizi, se roulent dans la boue, s'en prennent aux spectateurs. Pourtant, ces gars et filles sont tendres, mais les coups pleuvent, par exemple, sur les coaches des agences pour l'emploi, les clichés sur l'amour, les bonnes relations entre voisins. Aucun travers de notre époque n'échappe à leurs langues de... à leurs mauvaises langues. En bons héritiers de l'esprit Dubillard et de celui des Deschiens, en vraiment plus trash et méchants, les Chiens, pourfendeurs des pensées pures et uniques, jouent la démesure et la caravane en prend pour son grade. Pas de folie à la Artaud, mais plutôt une rigolade punk qui zieuterait vers Becket !Pas de cage "C'est dérangeant le rire, surtout dans un théâtre comme le nôtre qui s'appuie sur le réel", reconnaît Jean-Christophe Meurisse. Depuis quelques mois, il souffle un peu la direction régionale des affaires culturelles a enfin accordé une subvention à cette troupe qu'il a créée en 2004. Dix ans à ramer, mais le bouche-à -oreille a toujours rempli les salles. Jusque-là quelques amis de la famille théâtre les aidaient, quelques lieux les accueillaient pour préparer leurs spectacles. Et maintenant, pourquoi ne pas diriger un centre dramatique ? La réponse claque "Ah non, merci !" Pas de cage. "L'aventure a commencé lorsque j'ai eu envie de réunir des comédiens qui voulaient faire ce métier comme moi. Monter une troupe comme un groupe de rock. Le texte ? Il n'y en a pas parce qu'il n'y a pas que le texte dans le théâtre ! Au début des répétitions, je propose un thème, les comédiens improvisent et on monte ou on démonte selon les représentations." À la fin du spectacle, ce soir-là , deux créatures poilues à l'extrême dansaient le sirtaki dans le sable. Peu avant une mariée avait accouché en express, et un type chantait un tube de William Sheller en ricanant. Presque deux heures durant, l'amour débandera. Le public lui, souffre le martyre. Il a mal aux côtes et aux mâchoires. Sales bêtes ! Les Armoires normandes, avec Caroline Binder, Solal Bouloudnine, Claire Delaporte, Céline Fuhrer, Charlotte Laemmel, Manu Laskar,Thomas Scimeca, Anne-Elodie Sorlin, Maxence Tual, Jean-Luc Vincent et la participation de Robert HatisiDu 3 au 22 mars, théâtre des Bouffes du Nord à Paris ; du 9 au 11 avril aux Théâtre Sorano - Jules Julien à Toulouse. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Théâtre les Chiens de Navarre sont lâchés Soyez le premier à réagir Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
Paul: Il y a une séance à 20h45 au Cinéma « Le café des images ». Si tu veux, on peut se retrouver un peu avant pour boire un coup. T’en penses quoi ? Charline : OK, ça me va. On se retrouve à quelle heure du coup ? Paul : Je (ne) sais pas, vers 19h30, ça te va ? Charline : OK ça marche, à tout à l’heure !
Débats Avez-vous regardé le président de la République, lundi soir, sur France 3 ? C'était une édition spéciale du "19/20". Avez-vous regardé le président de la République, lundi soir, sur France 3 ? C'était une édition spéciale du "19/20". Pendant plus d'une heure car il y a eu des prolongations, Nicolas Sarkozy était interrogé sur tous les sujets par des journalistes qui se succédaient. Le plus caressant envers le président a été, comme toujours, Gérard Leclerc. La plus combative a été, comme d'habitude, Audrey Pulvar. Chacun était dans son rôle, en quelque sorte. Tout cela, vous l'avez constaté si vous avez regardé ce "19/20" hors normes. Pour ceux qui ont manqué ce face-à -face, on résume. Nicolas Sarkozy était donc en grand exercice de communication, à une heure de forte audience. Le thème principal était l'Europe, dont le président français assume la présidence pour six mois à compter du 1er juillet. Il avait un leitmotiv l'Europe doit protéger les gens et non pas les inquiéter. Il ne faut pas avoir peur du mot lui-même. La protection ne doit plus être honteuse. Elle ne doit plus se cacher. La protection, c'est bien ! Le comique, dans l'affaire, est que seuls les ultralibéraux sont persuadés du contraire et que, en France au moins, cette notion de protection fait l'objet d'un large consensus. Il était question du prix du baril, qui pourrit la vie des pêcheurs et des chauffeurs routiers. Pour les pêcheurs, on assistait à une première passe d'armes, à propos du thon rouge, entre Nicolas Sarkozy et Audrey Pulvar. Le président ironisait sur les compétences de la journaliste en matière de thon. Les anchois, qui ne peuvent être à la fois épuisés et surabondants, étaient aussi de la partie. Allait-on se les jeter au visage ? La TVA sur la restauration, ensuite. L'Europe n'est pas convaincue de la nécessité de l'abaisser, quand les Français persistent à vouloir manger dans un restaurant qui la paye à taux fort plutôt que dans un néfaste food qui n'acquitte que 5,5 %. C'était déjà technique. Cela le devenait plus encore avec la fiscalité des produits pétroliers. L'immigration ? Audrey Pulvar commençait très fort en accusant le président de vouloir faire du chiffre à tout prix. Si on arrête plus de personnes sans papiers, on en expulsera davantage ! Nicolas Sarkozy lui répliquait qu'il avait un coeur, lui aussi, mais que son rôle consistait à faire respecter la loi. Il ne cessait de lui dire "Madame". Elle ne cédait guère. Le mot "négrier", à propos des passeurs de clandestins, sonnait comme le point d'orgue de cet échange. La télévision, enfin. Paul Nahon, Monsieur Loyal de l'émission, défendait solennellement le service public. Il peut mieux faire, martelait le président, sentencieux. Il faut dans les programmes plus d'Europe, plus de science, plus de débats démocratiques. Plus de théâtre, aussi. Pour le théâtre, avec lui, on était servi. Dominique Dhombres Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Citationsfrançaises j'étais seul l'autre soir au théâtre français - Page 4 : La barbe de l'héritier pousse plus vite que les ongles du mort. Cherchez ici une citation ou un auteur Proverbes; Dictons; Auteurs; Thèmes; Thèmes voir tous; Toux; Plus; Tout; Vers; Homme; Hommes; être; Voix; Sens; Amour; Jour; Jours; Amis; Gens; Comme; Auteurs voir tous Jacques Amyot
Simon Faches seul en scène samedi soir au Petit Théâtre de Templeuve Publié 13 Avril 2014 à 11h50 Temps de lecture 1 min Le Petit Théâtre de Templeuve présente samedi soir un spectaale seul en sscène de Simon Faches, Pianistologie ». On peut qualifier ce spectacle de réjouissante psychanalyse où le piano remplace le divan et où le public est invité à écouter aux portes. En gymnastique, on appelle cela le grand écart. Et de la souplesse, Simon Fache n’en manque pas. Comme le prouvent le générique de Mac Gyver et les sonates de Chopin que le musicien virtuose dégaine avec autant de déférence. Lorsque ce dernier se permet d’ailleurs de confondre Wolfgang Jackson avec Michael Mozart ou encore de créditer Blanche-Neige au générique de Neuf Semaines et demies, ça n’est pas par goût gratuit de la querelle, mais pour la simple et bonne raison qu’il peut se le permettre. Simon Fache, pour le critique Geoffrey Sebille, est le premier musicien qui, non seulement, prouve que l’habit ne fait pas le moine mais que l’on peut, surtout, allégrement déconner en queue de pie. Peu importe au fond qu’il s’agisse du générique de Mac Gyver ou des sonates de Chopin, quand Simon Fache aime bien, Simon Fache châtie bien. » Samedi 19 avril à 20 h 30 au Petit Théâtre de Templeuve. Tarifs 9 et 5 €. Réservations Au Petit Theâtre, Templeuve
Seulproblème ? Elisa est mariée avec Marc, le meilleur copain de Serge. Elisa et Serge sont amants et rêvent d'une vie à deux. Seul problème ? Elisa est mariée avec Marc, le meilleur copain de Serge. Accéder au contenu Accéder au pied de page. Non merci . 🙌 Génial! Vous êtes inscrit! Merci de vous être inscrit! N'oubliez pas de jeter un œil dans
Publié le 16/02/2017 à 0347 , mis à jour à 0757 Le théâtre, avec la troupe de l'Amicale laïque, est une longue tradition layracaise. Samedi soir, alors qu'aucune autre manifestation importante dans la région n'est venue parasiter l'engouement des Layracais pour cet art, la salle du Foyer des Campagnes a résonné de rires dans un public bon enfant. Les comédiens amateurs — ça va sans dire- qui jouaient Les Deux Vierges», ont fait mouche. La comédie de boulevard, écrite par Bricaire et Lasaygues, riche de quiproquos et de bons mots, avait pour seul but de distraire. Sur la scène, Claude Ramis et son frère Patrice Laurent, Marie-Pierre Monestes sont des habitués de la scène, Josy aussi ils n'ont pas failli à leur réputation d'amuseurs. Cathy, Akim et Erwan n'étaient pas connus du public de Layrac. Ils ont été étonnants. Cathy, un peu timide au début, s'est affirmée au fil de la pièce pour finir dans les bras du PDG d'un soir qu'interprétait Patrice. Akim a été la révélation de la soirée un vrai comédien dans la peau du jumeau» du patron qui s'élevait dans la hiérarchie de l'entreprise au gré des lubies de ce dernier, obnubilé par l'astrologie. Quant au jeune Erwan, qui a déjà joué dans la troupe de son lycée ou à La Dame Blanche», il a tenu son rôle avec assurance. Si le public n'était pas, l'an passé, au rendez-vous de la Troupe, pour des raisons sans rapport avec le talent des comédiens, samedi soir, on pouvait dire C'est gagné !». Plus de soixante-dix personnes ont assisté à la représentation.
citation1 J' étais seul, l' autre soir, au Théâtre-Français, - Ou presque seul; l' auteur n' avait pas grand succès. - Ce n' était que Molière Une soirée perdue (1840) de Alfred de Musset Références de Alfred de Musset -
Paul aimerait voir le nouveau film En Corps » du réalisateur français Cédric Klapisch. Mais il ne veut pas aller voir le film tout seul. Il appelle son amie Charline. Charline Salut Paul !Paul Salut, Charline, comment vas-tu ?Charline Bah, ça va tranquille, je viens de rentrer du boulot là . J’avais plein de travail, j’ai cru que je n’allais jamais finir à l’heure. Mais bon, c’est réglé. Et toi ça va ?Paul Oui, oui. Moi je n’ai toujours pas de travail, mais j’en cherche un ! Dis-moi, ça te dirait d’aller au cinéma ce soir ? Il y a le dernier Klapisch en ce moment En Corps».Charline Ah, je connais pas bien Klapisch, il a fait quels films ?Paul T’as sûrement vu un de ses films sans le savoir. C’est lui qui a fait Paris », Ce qui nous lie » ou encore L’auberge espagnole ».Charline Ah, c’est lui qui a fait L’auberge espagnole »… OK mais de quoi parle le film ?Paul ça parle d’une danseuse classique qui se blesse pendant un spectacle. Elle apprend qu’elle ne pourra plus danser et elle découvre la danse contemporaine. Toi qui aimes la danse, je suis sûr que ça te plaira !Charline Ah oui, ça a l’air intéressant. Tu veux le voir où et à quelle heure ?Paul Il y a une séance à 20h45 au Cinéma Le café des images ». Si tu veux, on peut se retrouver un peu avant pour boire un coup. T’en penses quoi ?Charline OK, ça me va. On se retrouve à quelle heure du coup ?Paul Je ne sais pas, vers 19h30, ça te va ?Charline OK ça marche, à tout à l’heure ! Ah au fait, comme je viens en voiture je pourrais te ramener chez toi au retour si tu Ah oui, cool merci, sinon j’allais être obligé de rentrer à pied le soir. Bon, à toute, alors !Charline Å toute !Paul would like to see the new film En Corps » by French director Cédric Klapisch. But he doesn’t want to go see the movie alone. He calls his friend Charline. Charline Hi Paul!Paul Hi, Charline, how are you?Charline Well, I’m fine, I just got back from work. I had a lot of work, I thought I was never going to finish on time. But it’s all taken care of. Et toi ça va ?Paul Oui, oui. Moi je n’ai toujours pas de travail, mais j’en cherche un ! Dis-moi, ça te dirait d’aller au cinéma ce soir ? Il y a le dernier Klapisch en ce moment En Corps».Charline Ah, je connais pas bien Klapisch, il a fait quels films ?Paul T’as sûrement vu un de ses films sans le savoir. C’est lui qui a fait Paris », Ce qui nous lie » ou encore L’auberge espagnole ».Charline Ah, c’est lui qui a fait L’auberge espagnole »… OK mais de quoi parle le film ?Paul ça parle d’une danseuse classique qui se blesse pendant un spectacle. Elle apprend qu’elle ne pourra plus danser et elle découvre la danse contemporaine. Toi qui aimes la danse, je suis sûr que ça te plaira !Charline Oh yes, it sounds interesting. Where do you want to see it and what time?Paul There’s a screening at 845 pm at the cinema Le café des images ». If you want, we can meet a little beforehand for a drink. What do you think?Charline OK, that’s fine. What time should we meet?Paul I don’t know, around 730 Is that okay?Charline Okay, see you then! Oh, by the way, since I’m coming by car, I could take you home on the way back if you Oh yes, cool, thanks, otherwise I’d have to walk home in the evening. Well, see you then!Charline Bye!Entraînez-vous à relire le texte en parlant de vous !Voici quelques exemples Ça va tranquille / Ça va et toi ? / Très bien toi ? Je viens de rentrer… de l’université / de la fac / de chez mes parents / de chez mes amis / de chez le boulanger / du supermarché / des cours. J’ai cru que j’allais jamais finir à l’heure / j’ai terminé pile à l’heure / j’ai eu du retard. Je n’ai toujours pas de travail / J’ai trouvé un nouveau travail. Ça te dirait d’aller… au théâtre / au restaurant / chez moi / à la piscine / à la plage / faire un tour en forêt / faire un tour de vélo / courir / à la salle de sport ? Je ne connais pas bien Klapisch / Je connais bien Klapisch / Je suis fan de Klapisch / J’ai vu tous les films de Klapisch. Ça a l’air intéressant / ça ne m’intéresse pas beaucoup, tu veux voir un autre film ? On se retrouve… demain / tout à l’heure / devant la mairie / devant le restaurant. Je viens… à pied / en vélo / en voiture / en bus / en train / en métro. Je pourrais te ramener chez toi / Désolé, je ne pourrai pas te ramener chez toi. À toute / à tout à l’heure / à demain / à lundi / à la semaine prochaine / à la prochaine.
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j étais seul l autre soir au théâtre français